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Les rosiers de nos jardins et d'ailleurs
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Messages : 5069 Date d'inscription : 06/01/2013 Age : 81 Localisation : Suisse Chablais vaudois
Sujet: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Mar 05 Fév 2013, 18:04
Aussi : "Jaune Desprez", "Noisette Desprez" et bien d'autres. Desprez 1835. Parents : "Blush Noisette", x "Park's Yellow Tea-Scented China". Parfum ***. Chez moi. ne remonte pas.
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André Rosier grimpant
Messages : 2981 Date d'inscription : 18/10/2013 Age : 57 Localisation : Libourne
Extrait : Journal des roses. Rosa inter flores - Janvier 1877 - Dispo ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
LA ROSE MiLLE-ÉCUS (par Charles Desprez)
Berceau obscur de mon enfance, le petit village d'Yèbles (Seine-et-Marne) a, sous le règne de Louis-Philippe, brillé momentanément d'un éclat dont quelques vieux horticulteurs peuvent encore se souvenir. Là s'était retiré un ancien fonctionnaire amateur des jardins, épris de la tulipe, passionné pour le dahlia, mais notamment fou de la rose, un rosomane, enfin, comme il se qualifiait volontiers lui-même. Sans autre stimulant que son goût, sans autre but que l'agréable occupation de ses loisirs, il passait le temps à planter, greffer, bouturer, marcotter, semer, — semer surtout, car on le sait, tandis que la marcotte, la bouture ou la greffe ne peuvent rien changer à la nature des sujets, le semis seul produit des variétés nouvelles. — Or, l'ambition de notre campagnard était moins de collectionner que de créer. Non content de posséder des roses de tout le monde, il en voulait qui n'appartinssent qu'à lui. Ses jours s'écoulaient ignorés au milieu de gains non moins ignorés, et dont lui-même était loin de soupçonner la valeur, lorsque vint à passer dans le pays un connaisseur émérite, Pirolle, auteur du Bon Jardinier, rédacteur des Annales de la Société dAgronomie pratique. Le parfum qu'exhale un enclos le frappe soudain, l'arrête. Il tourne autour des murs, trouve la porte, s'introduit et demande à parler au maître. Le rosomane se présente et, supplié d'y consentir, il promène l'indiscret dans ses plates-bandes.
Les pivoines sont appréciées, les géraniums complimentés, mais devant les roses, Pirolle demeure attéré, confondu:
« - Artificielles, n'est-ce pas; en étoffe, en cire, en papier ? Non? Véritables ? 0 prodige ! Monsieur, vous êtes un sorcier. » Ce dit, il s'approche, se baisse, examine, flaire, soupèse, ouvre son carnet, prend des notes, et d'une voix émue:
« Le trésor est à vous, mais je l'ai découvert, je le puis donc à bon droit, divulguer. On ne vous pendra pas pour cela. Or, de grâce, veuillez m'aider. De quel nom désigner cette rose grenat, cette autre large comme une pivoine, cette autre si fièrement campée sur son pédoncule? — Je ne les ai pas baptisées. — Réparons cette faute. Avez-vous, parmi vos amis, quelque vieux militaire blessé, noble et superbe ? — Le " général Soyez ". — Voici son affaire. Et dans les alentours, quelque châtelaine au teint généreux ? — La baronne Prévost. (voir [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] ) — Donnons-lui cette filleule. Votre village aux aurores si belles, mérite d'être illustré par cette fleur éclatante; nommons-la le Carmin d' Yèbles. Et parmi les vôtres, monsieur, cette superbe compagne, ce gros garçon joufflu, cette gracieuse fillette auront bien aussi leurs roses, j'espère ; les voici dans cette planche et parfaitement ressemblantes. Pour achever notre nomenclature, donnons à la plus belle, à la plus étonnante de toutes, un nom qui porte aux quatre coins du monde la gloire de son créateur. Elle est de la variété des Noisettes. Laissez ! point de fausse modestie. C'est écrit. Dans moins d'un an tous les disciples de Flore connaîtront la Noisette-Desprez. »
« La célébrité du jour, lisait-on, quelque temps après, dans les Annales de la Société d'Agronomie pratique, l'emporte pour le volume et pour le nombre des pétales sur les plus belles roses connues. Gracieusement inclinée sur son pédoncule flexible, exhalant un parfum mêlé de thé, d'ananas et de jacinthe, elle est couleur de cuivre pâle avec des nuances pourprées du ton le plus délicat. Rien de satiné, rien de doux comme son feuillage, épuisant, du collet au sommet des rameaux, toute la gamme des verts. Le sujet, robuste, sarmenteux, luxuriant, obéit à tous les caprices ; on en fait indifféremment des massifs, des berceaux, des tonnelles, des palissades. Son caractère est si tranché qu'il suffit de l'avoir vu une fois pour le reconnaître toujours. »
Le récit de Pirolle fit événement, et l'année suivante, en effet, des amateurs nombreux vinrent à Yèbles visiter les roses. Ce fut, pour beaucoup, l'occasion de quelque surprise. D'aucuns s'étaient imaginé les vastes et somptueuses dépendances d'un château, d'autres le rustique enclos d'une chaumière. Ni ceci, ni cela. Vous descendiez de voiture devant une modeste mais confortable habitation dont le maître, vêtu d'une blouse, il est vrai, parfois même chaussé de sabots, mais l'air distingué, savant comme un dictionnaire et courtois comme un gentilhomme, vous faisait personnellement les honneurs. Vous étiez d'abord promené dans un jardin d'étendue médiocre, où le pois et l'artichaut côtoyaient familièrement le lys et le dahlia, mais où les vrais connaisseurs savaient bien vite apprécier certains carrés favoris, certaines plates-bandes d'élite. L'inspection terminée et quelque besoin de repos se faisant sentir, on vous introduisait dans un frais et joli salon dont les hôtes, moitié par discrétion, moitié par timidité, avaient fui; mais où des livres, des journaux, des peintures en train, divers instruments de musique tels que piano, violon, cor d'harmonie, indiquaient des goûts fins et des loisirs dignement occupés. Incessamment mis en lumière par les descriptions chaque jour plus explicites et plus élogieuses des Annales, Yèbles fut, vingt années durant, l'objectif non-seulement des horticulteurs, mais des simples curieux, qui, malgré la distance et le mauvais état des chemins, y venaient de Paris, de la province, de l'étranger même, chercher, les uns, des enseignements, les autres, des distractions. Parmi ces pèlerins d'un nouveau genre, citons le docteur Marjolin, 'ami du dahlia ; l'abbé Berlèze connu pour sa collection de pensées; le scandinave Uterhart, sans rival pour les giroflées; Hardy, le savant directeur du Luxembourg; Alphonse Karr, Troyon, Redouté, Anaïs Ségalas, Roger de Beauvoir, dont les œuvres, on le sait, témoignent autant d'amour pour les fleurs que de génie pour les lettres et les beaux-arts.
Mais, entre tous, celui dont la visite fit le plus de bruit, ce fut un Hollandais nommé Cisley-Vandaël. Il vint en chaise de poste et, sans même vouloir entrer au jardin :
« Monsieur, dit-il à son hôte, j'ai loué à Paris un terrain où je compte installer une pépinière. Je tiens à débuter par un coup d'éclat, l'exploitation de votre rose. Combien voulez-vous me la vendre ? — Je ne suis pas marchand de roses. — Il ne s'agit point ici de commerce. Thiers, Victor Hugo, Lamartine font bien éditer leurs œuvres : je serai l'éditeur de vos roses. Point d'hésitation permise. Vouloir plus longtemps jouir seul serait le fait d'un égoïste. Et puis, la gloire ; songez donc, la gloire ! — Ma foi, reprit le rosomane, vous avez touché la corde sensible. Mon architecte m'a remis hier le mémoire d'une serre que je viens de faire construire; acquittez ce mémoire et la Noisette-Desprez est à vous.
Le mémoire se montait à trois mille francs — mille écus. Cisley les tira de sa poche, prit plusieurs pieds de la rose, et, remonté dans sa chaise de poste, — ont raconté les chroniqueurs,— la première chose qu'il fit fut de s'écrier tout joyeux : « Déjà sept mille francs de gagnés! S'attendant effectivement à de bien autres exigences, il s'était provisoirement, et comme à compte, muni d'un groupe de dix mille francs. La nouvelle de ce marché, instantanément répandue, fit sensation, parmi les jardiniers. Elle n'émut pas moins les amateurs. Nous allons donc enfin la posséder, se disaient-ils, cette merveille qu'il ne nous a, jusqu'à ce jour, été donné de contempler et de flairer qu'à distance ! Car il faut bien l'avouer, le rosomane, jaloux de ses gains comme un sultan de ses odalisques, n'en offrait jamais, même aux dames, la moindre tige, le moindre fleuron. Un seul œil, en effet, habilement greffe, eût suffi pour déposséder l'inventeur au profit du premier intrigant venu. Et les lettres affluaient journellement chez l'éditeur, lui demandant vingt pieds, trente pieds, cent pieds de la Mille-Écus, sobriquet populaire, dont fut dès lors affublée la reine des semis d'Yèbles, et que beaucoup d'horticulteurs lui donnent encore aujourd'hui. Enfin, après deux ou trois ans de multiplications laborieuses, Cisley fit annoncer dans les journaux la vente au détail, à dix francs le pied, de la Noisette-Desprez; mais , ô surprise ! ô désappointement ! plusieurs confrères la donnaient le même jour, pour cinq francs. Pas l'ombre d'un doute possible, la rose avait été volée ; mais quand, mais où, mais comment, mais par qui? Cette affaire passionna plus qu'on ne saurait croire. Le principal intéressé ouvrit une enquête, mettant naturellement hors de cause Yèbles, dont le maître n'avait pour auxiliaires que des paysans sachant tout au plus distinguer un œillet d'un chrysanthème, et dont les jardins clos de murs avaient, la nuit, pour gardiens, des chiens incapables de connivence. Quelques fleuristes furent soupçonnés ; Pierre, Paul, Jean, Chapardon, Marouflot ; mais comment accuser sans preuves ? Ils se montraient d'ailleurs d'une susceptibilité redoutable. Un d'eux, pour de vagues propos, cria à la diffamation, intenta une action judiciaire et gagna si bien son procès que nul n'osa plus même hasarder de suppositions malveillantes. On mit l'incident sur le compte d'un oubli, d'une méprise, voire d'une intervention diabolique. Les romanciers s'en emparèrent, et certain journal publia une série de feuilletons inspirés par la naissance, le mérite et les aventures de la Mille-Écus. La révolution de février interrompit brusquement ces préoccupations horticoles. Depuis un grand quart de siècle, le pauvre Cisley-Vandaël, victime du larcin qui contribua le plus, dit-on, à l'insuccès de son exploitation, a repris le chemin des polders. Pirolle n'est plus ; le rosomane est mort, les haricots et les betteraves ont remplacé dans ses jardins, Bengales, Provins et Noisettes ; l'élégante demeure qu'ont déserté ses hôtes n'est plus qu'un corps de ferme abritant du fourrage, du blé et des bestiaux; Yèbles, qui d'elle seule tenait son éclat, est retombé dans l'obscurité, toutes les passions excitées par le grand mouvement horticole de 1840 sont éteintes, peu même des amateurs ou des praticiens qui les ont partagées vivent encore, et parmi ceux-ci combien ont gardé dans leur souvenir le roman de la Mille Écus. Aucun pensais-je, aucun, lorsque dans ces derniers temps, une affaire me conduisit chez un colon des environs d'Alger. A peine eut-il appris mon nom que, me regardant fixement et saluant jusqu'à terre : « Vous? vous, son fils? » s'écria-t-il. La visite du gouverneur ne l'eût pas ému davantage. Il avait exercé jadis l'état de pépiniériste à Meudon, et des livraisons de plantes l'avaient mis souvent en rapport avec Yèbles. Nous causâmes de l'affaire. Il s'agissait de choses graves: procuration, hypothèque, enregistrement. Peu à peu, cependant, mon colon absorbé, présumais-je, par une idée relative au sujet de notre entretien, ralentit son débit, espaça ses mots, coupa ses phrases et finalement tomba dans une méditation profonde. Puis tout-à-coup, collant sa bouche à mon oreille, et bien bas comme si pareille confidence eût mis sa vie en danger: « C'est Marouflot qui a volé la rose! » Cette préoccupation rétrospective ne semblera pas toutefois absolument dénuée d'à-propos aux yeux des amateurs d'horticulture. Malgré les caprices de la mode, malgré l'incessante émission de variétés nouvelles, la Noisette-Desprez figure encore avec honneur sur tous les catalogues. C'est d'ailleurs plus qu'une variété, c'est un type.
CHARLES DESPREZ.
Voilà pour la petite histoire !
Qui a cette rose dans son jardin et qu'en pensez-vous ?
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Madame Alfred Rosier liane
Messages : 5069 Date d'inscription : 06/01/2013 Age : 81 Localisation : Suisse Chablais vaudois
mon inconnu de Fontainebleau serait peut-être celui-ci ou 'Rêve d'Or'? quelles sont les différences entre ces deux rosiers?
voici celui qui trône à Fontainebleau (dans le parc de mon travail) de grandes cannes raides, des serres acérées, il fleurit tout le temps!!! (je crois qu'il a encore des boutons!!!) son feuillage est plutot fade mais quelle floraison! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
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Belle de Crécy Rosier buisson
Messages : 675 Date d'inscription : 26/01/2015 Age : 68 Localisation : Neuvic
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Dim 08 Mar 2015, 18:52
J'ai eu ce rosier et pour ma part, il était remontant, légère remontance, pas une floraison abondante.
_________________ Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum.
Madame Alfred Rosier liane
Messages : 5069 Date d'inscription : 06/01/2013 Age : 81 Localisation : Suisse Chablais vaudois
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Jeu 28 Mai 2015, 11:54
D'hier [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Belle de Crécy Rosier buisson
Messages : 675 Date d'inscription : 26/01/2015 Age : 68 Localisation : Neuvic
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Jeu 28 Mai 2015, 17:52
Les fleurs sont toujours aussi belles, merci Madame Alfred
_________________ Quand on vit au milieu des roses, on en prend malgré soi le parfum.
caroseline Rosier grimpant
Messages : 2079 Date d'inscription : 30/04/2013 Localisation : loctudy29
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Mar 25 Aoû 2015, 22:00
moi aussi , j ai trouvé une inconnue qui me fait fortement penser a desprez a fleurs jaunez:
c est un petit grimpant remontant que je surveille sur Pont l abbe depuis des annees: j en ai preleve un rameau pour tenter une bouture! pouvez vous me renseigner, mme Alfred, sur les dimensions de la rose de desprez a fleurs jaunes? celle ci mesure entre 5 et 6 cm ; un peu comme phillis Bide, pour les dimensions...
_________________ on est bien peu de chose, et mon amie la rose me l'a dit ce matin...
Madame Alfred Rosier liane
Messages : 5069 Date d'inscription : 06/01/2013 Age : 81 Localisation : Suisse Chablais vaudois
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Mer 26 Aoû 2015, 10:46
Le mien doit faire dans les 3 m. mais il est planté plutôt à l'ombre.
caroseline Rosier grimpant
Messages : 2079 Date d'inscription : 30/04/2013 Localisation : loctudy29
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Mer 26 Aoû 2015, 13:19
Merci de votre réponse,mme Alfred, mais en fait c'est sur la taille de la rose que je voulais vos lumières! Pouvez vous me confirmer si cette rose vous fait penser a desprez ?
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Madame Alfred Rosier liane
Messages : 5069 Date d'inscription : 06/01/2013 Age : 81 Localisation : Suisse Chablais vaudois
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Jeu 27 Aoû 2015, 10:54
La vôtre est à mon avis trop petite pour être Desprez
caroseline Rosier grimpant
Messages : 2079 Date d'inscription : 30/04/2013 Localisation : loctudy29
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Jeu 27 Aoû 2015, 13:59
Ha, je m'en doutais a moitié. Bon tant pis pour son identité ...tel au il est ,il me plait! Je vais persévérer dans mes boutures car il est bien remontant, ce qui lui donne une grande qualité... Merci de votre avis Mme Alfred.
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caroseline Rosier grimpant
Messages : 2079 Date d'inscription : 30/04/2013 Localisation : loctudy29
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Dim 05 Mar 2017, 08:24
Desolee de profiter de ce post pour essayer d'identifier ma petite liane inconnue... Est ce que cette fleur pourrait etre alister stella gray? Je sais que Mme Alfred le possede.
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Madame Alfred Rosier liane
Messages : 5069 Date d'inscription : 06/01/2013 Age : 81 Localisation : Suisse Chablais vaudois
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Dim 05 Mar 2017, 10:40
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] Alister Stella Gray
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caroseline Rosier grimpant
Messages : 2079 Date d'inscription : 30/04/2013 Localisation : loctudy29
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Dim 05 Mar 2017, 11:44
Merci, ça n'a pas l'air de correspondre...mercipour la photo!
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thermidor Rosier liane
Messages : 9635 Date d'inscription : 04/11/2014 Age : 50 Localisation : finistère sud
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Sam 27 Mai 2017, 22:30
Il me tardait de l'admirer en vrai, c'est chose faite à la roseraie de la Laita. Qu'il est beau !
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Sam 27 Mai 2017, 23:02
Merci qu'il se développe bien d'abord chez toi. Chez moi, il n'y a aucune urgence
Madame Alfred Rosier liane
Messages : 5069 Date d'inscription : 06/01/2013 Age : 81 Localisation : Suisse Chablais vaudois
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Lun 29 Mai 2017, 14:03
Ma photo est nettement moins belle ! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Cyrille Rosier grimpant
Messages : 4808 Date d'inscription : 31/05/2016 Age : 53 Localisation : Saint Porchaire Charente Maritime
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Mer 31 Mai 2017, 09:28
Je l'ai eu, il y a des années. Un monstre ! Mais quel parfum. Pour cela, j'en ai remis un pied, au travail, dans un endroit super chaud, où il ne pleut qu'en hivers, au pied d'un grand cyprès (pour lui garnir les rameaux). Depuis trois ans, il peine à pousser, mais s'en sort très bien, et fleurit et refleurit sans soucis. Il m'arrive de lui mettre un arrosoir d'eau, mais pas plus d'un par mois (!), histoire de le stimuler. Si on a de la place, et de la chaleur, je ne peux[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] que le recommander. En photo, un sujet trouvé le 8 mai dernier. Cela sentait bon....Il s'est trouvé, juste à côté, un gros chat bien malheureux, que ses maîtres soient absents. Il pleurait...Alors, je l'ai appelé, il est venu se faire gratouiller un bon moment, et il serait bien resté avec moi, mais ce n'était pas possible.
thermidor Rosier liane
Messages : 9635 Date d'inscription : 04/11/2014 Age : 50 Localisation : finistère sud
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Dim 01 Juil 2018, 14:20
Voici les premières fleurs de mon Desprez. J'avais un doute car dans mon souvenir les fleurs étaient plus doubles mais en regardant la dernière photo de Cyrille je pense que c'est lui. Qu'en penses tu Cyrille ? Le parfum est un peu musqué.
Messages : 4808 Date d'inscription : 31/05/2016 Age : 53 Localisation : Saint Porchaire Charente Maritime
Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835) Dim 01 Juil 2018, 21:15
Les fleurs sont un peu passées, mais le feuillage, c'est cela. Elles sentent si bon ! J'ai quelques soucis, avec le sujet, au travail. il a été tellement aspergé de désherbants, que c'est tout déformé. Une variété à recommander, si on a de la place et de la chaleur.
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Sujet: Re: Desprez à fleurs jaunes (Desprez - 1835)