Delacroix (Massad - 2008) - Grimpant

Delacroix est vraiment ravissant mais j'ai bien calculé , réfléchi: trop grand et encombrant pour là où je veux le mettre; je cultive Albéric Barbier et Treasure Trove et même si Albéric surtout a mis du temps à s'établir...ces deux là sont de belle taille et ont un encombrement...je dirai...respectable!  
Merci cependant de m'avoir fait découvrir ce charmant rosier!

du jour

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vendredi,  j'étais en conversation avec Daniel Shmitz à son sujet  (Cepcor)

Il considère que ce n'est pas vraiment une liane..  qu'il grandi trop peu

Je remarque tout de même qu'il fait des tiges de 5m  sur l'année

Il est souple..

Je me suis donc  demandé
quels étaient les critères pour considérer un rosier comme
grimpant ou comme liane ?

C'est vrai que Iceberg grimpant grandi tout autant  mais avec des tiges bien plus grosses..

Image du jour d'un des Cepcor chez nous  qui a fait plusieurs branches de 5m

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d'hier

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18 octobre

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4 octobre
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celui qui est le long du mur, offre encore quelques jolies petites fleurs ! en décembre
ça fait super plaisir

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images d'hier

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Encore un rosier qui a voulu être de la fête à Pâques


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Après quelques petites fleurs par ci par là....

La véritable floraison commence

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Charme du jour

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Pluies et grêles n'ont pas trop altéré ce ravissant rosier déjà bien fleuri

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il reste gracieux

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ce poteau un peu moche (pardon Françoise; et il y a plein de trucs moches chez moi!) devient une merveille!

  tu l'as bien dit !!!

et c'est justement pour ça que j'ai planté cette liane à son pied.. car comme il nous amène l'électricité.. on ne peut absolument pas s'en passer...

du jour, il est loin d'être encore tout à fait épanoui.. mais je l'aime bien lorsqu'il est encore en boutons

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Ils deviennent magnifiques !

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du jour

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Merci Françoise !

Françoise a écrit:

Je me suis donc  demandé
quels étaient les critères pour considérer un rosier comme
grimpant ou comme liane ?

Voilà la réponse de David Austin :

Les grimpants (Climbers) ont généralement de grandes fleurs remontantes et une croissance assez raide et pas trop vigoureuse. Les lianes (Ramblers) sont en général beaucoup plus vigoureuses. Elles vont produire de grandes quantités de petites fleurs non remontantes. Il y a des exceptions à ces deux règles: par exemple Malvern Hills et Snow Goose sont des lianes remontantes alors que Cécile Brunner Grimpant est un grimpant non remontant et à petites fleurs.

La plupart des grimpants sont les plus adaptés pour des murs, treillis, des arches, des obélisques alors que les lianes sont généralement mieux pour pousser sur un arbre ou couvrir une pergola ou de grandes structures comme les garages ou des hangars.

Source ici : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

Je ne suis pas d'accord avec ce qu'écrit David Austin. Il y a un beau nombre de grimpants à petites fleurs groupées... La différence est beaucoup subtile.

Momo par exemple..  

Encore jeune, et planté dans un endroit très ingrat.. il va grandir,  mais sur cette photo,  il a déjà 3 ans

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J'ai lu récemment une intervention de Jean Lin, qui évoque avec me semble-t-il beaucoup de bon sens, de se fier plutot à la génétique du rosier.. J'aurais plutot tendance à me fier à ceci pour classer plus ou moins un rosier
et puis... comme on mélange un peu de tout.. il y a bien sur des inclassables

Françoise a écrit:

J'ai lu récemment une intervention de Jean Lin, qui évoque avec me semble-t-il beaucoup de bon sens,  de se fier plutôt à la génétique du rosier..    J'aurais plutôt tendance à me fier à ceci pour classer plus ou moins un rosier
et puis...  comme on mélange un peu de tout..  il y a bien sur des inclassables

Que veux-tu dire par "se fier plutôt à la génétique du rosier" ?

Une analyse ADN coûte assez cher et n'est pas à la portée de toutes les bourses.

Et l'autre souci, c'est qu'aujourd'hui, il y a tellement eu de croisement et recroisement entre les différences espèces de rosiers qu'il n'y a plus vraiment d'espèces type...

Nous sommes bien d'accord,  mais en me relisant,  je me rends compte que ce que j'avais écrit ce matin est très peu compréhensible.

Ce que je voulais dire,  c'est que quand on peut avoir une idée de la filiation du rosier..  qu'on peut mieux le classer en fonction de ses ascendants...


Mais en effet,   vu le nombre de croisements tous azimuts,  cela devient très complexe de classer des rosiers

André a écrit:

Une analyse ADN coûte assez cher et n'est pas à la portée de toutes les bourses.

Heu...

En fait la classification à l'ancienne sur le modèle de Linné n'est pas très adaptée aux variétés horticoles comme celles de nos rosiers.

Aujourd'hui avec les évolutions de la recherche génétique, on parle plutôt des variétés par rapport au fait qu'elles aient tel ou tel trait génétique.

Chaque individu est comme un véhicule, il dispose (ou pas) de telle ou telle option sous la forme de gènes (gène de résistance aux maladies, gène de floribondité, de remontance, de parfum, de vigueur, etc...)

Jusqu'il y a encore quelques années, les sélectionneurs pensaient qu'ils suffisaient de croiser un rosier résistant et très florifère avec un autre très parfumé et très remontant pour obtenir un descendant ayant toutes ces qualités.

On sait aujourd'hui que c'est bien plus compliqué que ça et que lors du mélange de gène entre le père et la mère, c'est un peu une loterie, on peut parfois avoir une bonne surprise mais c'est rare.

Pour en revenir à notre distinction liane, grimpant, j'ai bien noté que la définition de David Austin ne vous plaisait pas mais quelle autre définition proposeriez-vous ?

franchement... je ne sais pas ...

comme déjà écrit plusieurs fois ci dessus... c'est un véritable labyrinthe